A notre premier regard tissé, savoir que jamais rien ne serait comme avant ...
Reconnaître en un plein de lune que nos destins étaient à jamais entremêlés.
Sentir cet indéfinissable emprise qui nous élève bien au-delà des cieux.
Se savoir sans même se parler, une intime évidence que l'on porte en soi
Qui gronde, râle, et retentit en les entrailles de cet Autre, écho assourdissant.
Big-bang qui bouscule, bouleverse, transperce.
Se frôler, se livrer, s'ingérer, s'incarner.
S'exposer, se poser, s'épouser.
Deux âmes qui s'entrechoquent et se tressent du bout des doigts.
S'appartenir sans aucun effort que celui de l'abandon absolu.
Lier nos souffles à n'en faire qu'un et être en apnée sans l'autre
Sentir chaque seconde l'autre même aux extrémités des deux pôles
Vivre en sursis jusqu'à la communion de ces essences, renaître à chaque fois, le plaisir amarré à nos regards.
Ne jamais plier sous la tyrannie de la distance et se sentir vivant d'un tel amour.
Attache insubmersible, philtre elfique, couler dans ses veines et le relever de chaque allégeance à l'étoile infortune.
Combattre les démons intimes avec comme seule arme, l'alliance de nos corps confondus.
Se battre pour l'indépendance, la liberté et n'être la femme que d'un seul homme.
La passion dans toute son ampleur, dans ce qu'elle a de plus brutale et entière.
Je ne sais être autre.
Je suis une femme amoureuse.
Je suis sa Femme.
Reconnaître en un plein de lune que nos destins étaient à jamais entremêlés.
Sentir cet indéfinissable emprise qui nous élève bien au-delà des cieux.
Se savoir sans même se parler, une intime évidence que l'on porte en soi
Qui gronde, râle, et retentit en les entrailles de cet Autre, écho assourdissant.
Big-bang qui bouscule, bouleverse, transperce.
Se frôler, se livrer, s'ingérer, s'incarner.
S'exposer, se poser, s'épouser.
Deux âmes qui s'entrechoquent et se tressent du bout des doigts.
S'appartenir sans aucun effort que celui de l'abandon absolu.
Lier nos souffles à n'en faire qu'un et être en apnée sans l'autre
Sentir chaque seconde l'autre même aux extrémités des deux pôles
Vivre en sursis jusqu'à la communion de ces essences, renaître à chaque fois, le plaisir amarré à nos regards.
Ne jamais plier sous la tyrannie de la distance et se sentir vivant d'un tel amour.
Attache insubmersible, philtre elfique, couler dans ses veines et le relever de chaque allégeance à l'étoile infortune.
Combattre les démons intimes avec comme seule arme, l'alliance de nos corps confondus.
Se battre pour l'indépendance, la liberté et n'être la femme que d'un seul homme.
La passion dans toute son ampleur, dans ce qu'elle a de plus brutale et entière.
Je ne sais être autre.
Je suis une femme amoureuse.
Je suis sa Femme.
Sab rasmo.n se baDi hai jag me.n dil se dil kii sagaa'ii
De toutes les traditions en ce monde, le plus grand est l'engagement de deux coeurs
[aparté] mes livres sont désormais en vente libre ;) à Genève, chez Ellipse
Hééé bé, si c'est pas de l'amour vrai, ça ! on en tremble, ces mots nous font chavirer, et aimer comme tu aimes nous donne envie de nous dépasser pour l'autre...c'est si bon de s'abandonner;-)
RépondreSupprimergravé sur la peau, ancré, a l'encre invisible, un symbole qui ne se rèvéle qu'à la caresse du soleil,
RépondreSupprimerune prière livrée à la lune, du bout des doigts toucher le ciel, une promesse en la chaire...
savoir que au-delà de soi, le coeur sans cet autre se vide... le savoir depuis toujours, le savoir en un instant...
Se perdre alors, avoir la foi en soi, petite lumiere...aimer une fois, aimer cet autre toujours... impression indélebile... tatouage dans le sang, tatouage dans la chaire, tatouage sur les lèvres, tatouage à chaque battement de coeur...
faire du temps son ami, se laisser le croire, le laisser faire son chemin, mourir a petit feu, sans mourir vraiment...
être larmes, sourires et rires... être vivant... Se perdre, garder cette foi, rester debout et digne... se retrouver, pour se perdre à nouveau... Mais aimer toujours... essayer la décence, essayer le silence... mais reconnaitre en son coeur un écho, qui fait mal, qui fait "douceur", libre choix à celui ou celle qui est alors le gardien des clés, il n'y a qu un jeu (de clés)... prisonnier et libérer... le feu... reconnaitre la flamme, reconnaitre la femme... l'Etre pour lequel demain existe toujours... simplement rire et sourire... et pleurer... étreindre la nuit et le jour... cette nuit pour qui sait voir il y aura dans le ciel une lune aux animaux fabuleux, l'un connaissant la lumière, l autre connaissant l'ombre, un ballet incertain, un ballet éternel... ce sera cette nuit et toutes les autres à venir...
mais ... chut!.. rien n'est dis...
il y a le rêve, il y a le réel;
il y a la méfiance, la confiance;
il y a la colre et l appaisement;
il y a le roc qui n'en est pas un;
il y a la fierté et toutes les armes deplacées;
il y a la liberté et le respect...
il y a la certitude incertaine...
il y a les choses qu'on ne voit pas;
celles que l'on tait, et celles qu'on devine au-dela de soi, du coeur et des yeux... au-dela de l'autre...
il y a l'émotion et le coeur au bord des yeux...
il était une fois, un astre de luminescence, un petit prince, une rose, un renard, un champ de blé un mouton et un serpent... il était une fois un desert, dans lequel un regard, une rencontre, a construit un puits... un désert devenu fertilité et douce mélancolie, bercé par la mélodie d'un coeur battant, du coeur ardent, d'un coeur aimant...
il était une fois une princesse, il était une fois un ange qui s'ignore...
il était une fois une idée simple et si complexe: il était une fois l'amour!
Rien à ajouter... ;-)
RépondreSupprimerOu alors, ça parlerait d'hormones, de choses comme ça, et ça briserait la magie :-)
S'appartenir tout en sachant lâcher la bride, pour s'aimer en toute liberté...
RépondreSupprimerJoli texte, comme toujours.
L'amour est ta langue maternelle, Eva.
Superbe déclaration ;-)
RépondreSupprimerC'est beau, c'est vrai ..
RépondreSupprimerMais comment se fait-il qu'on ait une pub X en arrivant ici ?
RépondreSupprimerça donnerait (presque) envie d'être amoureux...
RépondreSupprimer;-)
chrixcel : le plus doux des abandons :)
RépondreSupprimermoonfox : il était une fois *Nous*, *quand tu m'aimes* d'Aznavour... Sache que Je... mon ange :)
frez : je ne retiens que la magie, éternelle amoureuse je suis, même si cela est dépassé de nos jours...
miss lucy : mes mots ne sont qu'échos à son amour... il me sait.
euqinorev : *ma déclaration*, le crier sur les toits même après 10 ans.
diane : c'est doux, fort et violent... aimons nous vivants :)
frez : quelle inconnue ? :p
berlin belleville : lâcher prise *oui* :)