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09 mars, 2011
On ne badine pas avec l'amour
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Il ne manque pas le "n'" avant "est" ? :D
RépondreSupprimerTrop classe... ;)
Frez : *sourire*
RépondreSupprimerUn grand merci pour cet article qui me permet de découvrir plus avant une auteure dont j'ai dévoré la nouvelle ! A moins que ce ne soit elle qui m'ait dévoré.
RépondreSupprimerJe dois filer travailler et ne peux comme je l'aurais souhaiter, vous en rendre compte en détail ce matin, mais le ferait ce soir ou demain tant ces coucous sont un cou-coup de coeur!
Comme je le disais à Elisabeth :
Je ne l'ai pas aimé, je l'ai ADORE !!! Je ne l'ai pas lu, je l'ai RELU !!!
Déjà, le simple "livre objet" est très séduisant : des couleurs chatoyantes (le rouge et le noir sont mes couleurs favorites, ce que je porte derrière cet écran d'ailleurs), des illustrations en couverture (et à l'intérieur) pétillantes : on a l'oeil aussitôt attiré par le livre et l'envie irrépressible de le prendre en mains...
Puis une fois dans les mains, votre talent, Eva,opère.
Aussitôt.
Le thème est traité de façon savoureuse, malicieuse, sans occulter la profondeur de la douleur lorsque duplicité de l'Autre il y a, mais sans s'appesantir dessus non plus. Un savant dosage (à l'instar des potions concoctées par Audrey) entre humour, tendresse, fraîcheur, volupté, passion et brumes de chagrin.
C'est beau et fort comme un coeur qui bat.
Je reviendrai vers vous sans tarder, mais d'ores et déjà je tenais à vous remercier pour ce bijou qui me donne envie de découvrir les autres ouvrages signés de votre plume. Ma prochaine chronique vous sera consacrée !
Je vole à nouveau vers vous dans le ciel de cet écran. J'ai A-D-O-R-E votre nouvelle.
RépondreSupprimerVraiment.
Vous traitez d'un sujet douloureux, la douleur d'aimer quand trahison il y a, sous un angle absolument novateur. Loin de verser dans le pathos, vous faites une pirouette au chagrin, et nous emmenez dans le sillage de votre plume avec malice, délice. Une légèreté apparente qui n'occulte en aucun cas la profondeur de vos réflexions.
J'ai pensé à Aragon dans ses lettres à Elsa en vous lisant, tant la passion est présente, forte, sublime, et plus particulièrement à ce passage : "c'est parce qu'il est plus facile de mourir que d'aimer, que j'ai choisi de vivre, mon amour..."
Aimer, quitte à souffrir, mais aimer ! Car fade, vide et austère est une vie sans passion, ce n'est pas moi qui vous contredirais.
Votre style, de même m'a beaucoup séduite. Des formules inédites, une sensibilité à fleur de plume, un rythme soutenu, quel savoureux cocktail !
Merci à vous pour ce bijou dans son bel écrin rouge et noir (les illustrations sont magnifiques et forment un ensemble très réussi avec votre plume)
Félicitations à vous pour Les Coucous !!!
Avec votre plume -soufflet, la flamme n'est pas prête de s'éteindre !
Je l'ai lu d'un trait ! Je peux te dire qu'autant de suspense avec une telle concision textuelle est surprenante ! Il faut le lire pour comprendre ce que je veux dire.
RépondreSupprimerJe le prête à mes collègues de bureau ! :)))
Je me suis régalée de cette délicieuse vengeance ♥ sous le charme de cette Nouvelle ciselée!
RépondreSupprimerLes coucous : Des mots qui sentent la fleur de la vengeance et l'odeur de la passion.
RépondreSupprimerUn livre qui se lit avec un saint honoré rose framboise accompagné d'une coupette de champagne. Littérairement sensuelle, et floral. <3 aurélie
Bravo pour cette prouesse littéraire car dans cette nouvelle, tu as réussi à rendre poétique, fraîche et sensuelle, cette machiavélique histoire de vengeance d'une femme trompée ! Bel exercice de style où la morale qui se veut sauve semble nous souffler à l'oreille de continuer à cultiver notre jardin secret tout en sachant ne pas trop piétiner dans les plates bandes de ceux qui nous convoitent, au risque d'en subir de dramatiques conséquences !! :-)))
RépondreSupprimer...un triangle passionnel qui m'a donné l'envie d'imaginer ce trio d'acrostiches....
E lles,
V olages
A mantes
L ui,
U nique
N ominé
A u
B atifolage
A dultère
E lle,
V olcanique
A imante
Je terminerai en saluant la qualité du graphisme de la couverture : Cette Lolita et son Cupidon illustrent à merveille ta charmante nouvelle !! Bravo à Rachel (sans oublier les dessins tout aussi délicats et remplis de sensualité d'Aurélie !!)
...Une "Lady" qui n'écoutera plus désormais les "coucous" de la même oreille !! :-)))
Une très bonne lecture, passionnelle, florale et mortelle...
RépondreSupprimerMerci pour cette lecture
Qui nous montre que pour qu'un amour dure
Cela ne peut se faire qu'à deux
Car la passion nous rend heureux
Mais peut parfois aussi nous détruire
Bien qu'on fasse tout pour éviter le pire
On aimerai à jamais
Qu'amour rime avec toujours.
Un très beau texte encore une fois et une grande qualité d'illustration en font la plus magnifique des compositions florales littéraire.
j'ai relu, bien calée dans mon fauteuil d'Emmanuelle, un petit thé fumant et odorant à mes côtés, les Coucous. Rien à voir avec la lecture écran ! Je les ai dégustés, faits traîner, compulsés, et adorés !
RépondreSupprimerTa plume de Coucous, est un délice léger et doux, saignant aussi !
Merci de ce beau moment
Une écriture poétique, musicale, dangereusement sensuelle. Un rêve de femme :faire passer de vie à trépas l'amant volage. Mais le faire avec une certaine délicatesse, en prenant le temps qu'il faut aux choses importantes. Gare à vous messieurs!Cette espèce de femme est dangereuse !
RépondreSupprimerDangereuse est la femme qui aime.
RépondreSupprimerEva représente pour moi la prose qui se boit comme un petit lait... chaud, très chaud.
Comme d'habitude j'ai lu les premières lignes et me suis laissé embarqué jusque... la fin.
Un peu court encore une fois, mais bon, très.
Belle plume inspiratrice... Verbe recherché, style enivrant ! Sublime et Eva vont de pair !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le style de votre nouvelle. J'ai été surpris qu'elle se situe dans un cadre contemporain ; votre style me la situait d'abord dans un siècle antérieur. Un style qui sent Chandernagor ou Anne Golon (ce n'est pas une critique : j'adore !). Le poison n'est pas franchement une surprise, mais... Bon, je ne peux pas en dire plus pour ne rien dévoiler aux autres. En tout cas, félicitation.
RépondreSupprimerJe me laisse toujours emmener par ta plume délicate, avec Audrey, son amour passionné, ses blessures et ses plantes. J'ai apprécié le contraste entre la chaleur de son jardin et la glace de ses concoctions. Un grand bravo pour cette belle nouvelle !
RépondreSupprimerJ'ai été surpris de cette nouvelle, agréablement comme toujours d'ailleurs.
RépondreSupprimerOn a la sensation de lire plusieurs histoires différentes, et ces récits se révèlent n'être qu'un seul.
Une nouvelle qui fait froid dans le dos, qui invite à la réflexion, et montre du doigt jusqu'où peut mener la trahison.
Un style inimitable que j'aime profondément !
J'adore le texte, court, incisif. J'étais dans la peau de cette femme trahie qui devient criminelle par amour.
RépondreSupprimerCa donne la chair de poule. J'ai aimé le mélange des genres : nouvelle-documentaire sur les plantes.
très joli texte, subtil et délicat... l'esthétique du crime... quand le meurtre se conjugue avec sérénité... bravo Eva !
RépondreSupprimerDès qu'il s'agit d'amour, la femme deviendrait-elle une créature à sang froid ? :) Une nouvelle efficace qui se dévore d'un trait, fraîche comme la rose mais tout aussi piquante que la moindre de ses épines.
RépondreSupprimerRemèdes ou poisons... nos chères plantes sont nos compagnes tout au long de notre vie... on les offre, on les reçoit... elles embellissent nos cadres de vie... rarement elles sont l'arme d'une vengeance comme ici, dans cette impressionnante nouvelle de Eva Lunaba... où le langage des fleurs est aussi acéré que celui de l'auteur :)
RépondreSupprimerUne nouvelle fleurie à la vengeance vénéneuse, une intrigue haletante qui met en scène une belle plante qu'il vaut mieux ne pas croiser. Un récit parfumé d'immoralité dans une ambiance classique surannée superbe... On s'enivre à respiration olfactive, à chaque mot. La Passion est un poison dont on ne se relève pas. A lire, à aimer, à soutenir, à cueillir le jour.
RépondreSupprimerUn texte sensuel et féminin,délicat et vénéneux. Par petites touches, Eva y dépose toute sa subtilité et son talent.
RépondreSupprimerUne histoire qui parle à la botaniste que je suis :-)
Votre nouvelle est saisissante et tout à fait originale. N'est pas de la famille des Médicis qui veut; vous avez l'écriture dans le sang et moi je me pique d'être Fan.
RépondreSupprimerpassionnément cruel et une belle construction, originale, bravo !
RépondreSupprimerChère Eva, ta plume épouse Audrey, se faisant tour à tour amante épanouie, femme trahie et vénéneuse vengeresse.
RépondreSupprimerMerci pour cette courte valse, cruelle et ténébreuse.
Comment ne pas citer Camus ? Qui répondrait en ce monde à la terrible obstination du crime conjugal si ce n 'est l 'obstination du témoignage ? Très belle nouvelle Eva. J 'apprécie votre plume d 'ange, coucou de notre bonheur de vous approcher...En vous lisant je puis affirmer que le bonheur est dans le pré !...Bon succès mérité !!
RépondreSupprimerComme promis, je suis revenu. Vous avez un style très poétique, très percutant aussi, paradoxalement. Vous racontez une histoire et les personnages sont à la fois oniriques et proches de nous, nous plongeant ainsi dans un entre-deux mondes des plus délicieux. Un bon moment de lecture !
RépondreSupprimerJe viens de lire avec délectation l'excellente nouvelle que tu proposes pour le grand prix de la nouvelle...Que te dire à part que tu as su réunir l'ensemble des ingrédients nécessaires pour un réel moment de bonheur.
RépondreSupprimerTu es un super antidote!!!
Dans chaque phrase de ces extraits des Coucous tinte une petite musique légère d'autant plus subtile et persistante que sa mélodie offre un contraste saisissant, sublime et vertigineux abîme, avec l'inexorable profondeur du récit.
RépondreSupprimerPuissent tes lettres et les mondes qu'elles dessinent voyager et s'essaimer sous de nombreuses paupières conquises...
RépondreSupprimerDu grand Lunaba! sucrés, amères; des maux d' amour mis en lumière... Dans la lignée des Gavalda, Peter Dexter... du petit lait à boire...en théière...
RépondreSupprimerj'attends patiemment de te voir passer pour une session signatures dans la region pour avoir Mon autographe et echanger des mots avec toi!!
RépondreSupprimerla sensibilité au coeur des mots ;)))
ah tes mots!
RépondreSupprimerEn tout cas, bien au delà du thème et du sujet je trouve ton écriture toujours aussi fine et magnifique à lire. On sent réellement "l'acte" se préparer et le couperet tomber au creux de l'oreille. deux très belles parties, en tout cas ;-)
RépondreSupprimerOuais, ben maintenant que je t'ai lue, compte pas m'inviter à boire le thé... Nan mais ho !
RépondreSupprimerHé hé...
Cyrille
Si une femme décide un jour de me faire passer de vie à trépas d'une omelette aux champignons, je rêve qu'elle ait la classe d'Eva !
RépondreSupprimerJe viens de relire pour la 3ème fois ton exquise nouvelle.
RépondreSupprimerL'harmonie des mots, la musique des phrases, en relisant je vais de découverte en découverte.
"Audrey oubliait la chatière menant à son cœur, il l'avait empruntée comme jadis en se parant de promesses."
Nous avons toutes connu cela (enfin je l'espère pour les autres) mais il n'y a que toi pour décrire ce fait (d'une banalité
affligeante ) avec autant de virtuosité.
Je cite cette phrase mais tout est à l'avenant.
Quel talent ,Madame, quel talent.
J'adore le nom et la fleur de Datura.Mon fils (qui a passé cinq années à Haïti m'a appris qu'elle faisait partie du mélange toxique
qui faisait les Zombis).
Lorsqu'il fera moins chaud nous allons planté dans les jardinières du balcon ,plantes et fleurs qui,dès que je me lève, font l'objet de tous mes soins.
Mon premier bonheur du jour.