02 août, 2005
Jeu de Dés
Dé raison
Je suis folle
D'être folle de moi
Tu es fou
Je suis fou de toi…
Dans mes bras tu y trouves niché le soleil
Dans ton regard j'y retrouve le ciel…
Je m'étiole quand tu n'es pas là, je voudrais ne pas quitter ces draps au parfum d'envie…
Peu importe le grondement extérieur, si ce n'est pas dans tes bras que je l'entends ronronner cette planète…
Chacun cherche un sens à la vie, je sais depuis le premier instant que je suis née pour toi… Mon IL, ma force vive.
Qu'importe le couperet si c'est contre toi que s'enfuie ce dernier souffle.
Il y a des évidences contre lesquelles on ne peut rien, je n'ai pas peur de l'autre rive, j'ai peur de te perdre…
ça m'affole
D'être loin de toi
Je l'avoue
J'ai peur parfois…
Dé rive
Dés illusion
Dé tente
Écho au dessin de Doune
B.O à écouter avec un bon verre de Margaux ;)
Celine Dion - je sais pas
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Je les croise souvent ces deux-la, benjamin et chiara...sont choupinoux...Et plein d'amour aussi...joli écho à cette passion qui vous habite et que vous dites si tendrement.
RépondreSupprimeramitié
le dessin de doune est à tomber!!!
RépondreSupprimertu vois, je n'ai pas besoin de faire de photos de draps, ça n'arrivera jamais à la cheville (hehe)
C'est vrai que ce dessin de va à ravir!
RépondreSupprimerTa note me fait penser à une chanson de Jorane: "vent fou", il faudrait que je te l'envoie tiens!
C'est beau... c'est vrai que le plus beau cocon, c'est s'enrouler dans ces draps au parfum de lui... merci jolie Lunaba :)
RépondreSupprimerSauter>O^^O, t'exagère un peu là...
Somptueux dessin et splendide texte, bravo à vous deux
RépondreSupprimerTon texte improvisé me fait craquer...
RépondreSupprimerJe viens de passer quelques instants sur ton blog et j'en ai aimé les textes, tous consacrés à l'amour, quel beau sujet ! A bientôt.
RépondreSupprimerUn joli texte, des mots qui touchent. Tu parles bien de l'amour..
RépondreSupprimerContent de voir que ton épanouissement ait trouvé un nouveau refuge... Salut à toi Miss Lune Rousse...
RépondreSupprimerPendant qu'on est dans les vins, il y a quelques Pic saint-loup formidable par chez vous...et un petit pinot noir du domaine clovallon absolument merveilleux...frais pour l'été, à l'apéro ou pour acompagner le poisson, à température en hivers...mais...ça boit, les Amish ? ;) De nos jours, on ne peut plus être sûr de rien...ah j'vous jure!!! ;)
RépondreSupprimeramitié
ps : j'adore le dessin de Doune !!
C'est agréable (image+texte) -> moi aussi boirais bien un verre de vin.
RépondreSupprimerelle est où margaux que j'en boive un verre ;-) ?
RépondreSupprimerF.O.L.: une douce passion depuis 7ans...
RépondreSupprimerLe Pic St Loup, gouleyant :)
Sauter : un drap froissé à tes chevilles, ne me tente pas ;) Quant à Margaux elle donne la tétée à son chat...
Miss Lucy : Jorane, la folie douce...
Doune : improvisation sur un dessin troublant...
Véronique : *merci* :)
françois : merci de m'avoir effeuillée le temps d'un vol...
Dark2 : dessine moi l'amour ;)
la fille d'à côté : je ne sais qu'écrire avec la peau...
Boule : bientôt les aventures de la lune rousse en BD ?
Delphine : avec modération ;p
lunaba > jsuis vexé! (et pas à cause de margaux!)
RépondreSupprimerDis moi pourquoi je hais nos parfums dans mes draps
RépondreSupprimerEt pourquoi peu à peu j’efface toutes tes traces
Alors que ton absence me fait maudire tes bras
Quand s’oublient en silence nos tendres face-à-face
Quand tu quittes mon lit j’enlève vite les draps
Et j’ôte sur mon corps de toi toutes les traces
J’interdis à l’absence la prison de tes bras
J’oublie nos corps à corps nos tendre face-à-face
Quand nous dormons ensemble je me sens être tienne
Et ton sang dans mon rêve coule un peu dans mes veines
Je n’ai plus de frontière et mon corps interdit
Brûle et oublie les peines, les douleurs de ma vie
Mais je m’en veux si fort d’attendre tant de toi
De l’amour de ta chair pour approcher la grâce
D’oublier dans ton corps mes peurs d’ici bas
De faire de ta personne l’objet de mon espace
Alors quand tu t’en vas que tu quittes mes draps
J’efface peu à peu de toi toutes les traces
Je laisse ton absence maudire encore tes bras
Et j’oublie en silence nos tendres face-à-face
Lunaba > Arriver à redéfinir un verre de Margaux au travers de Brassens, c'est génial. (Même si l'orthographe devient incertaine)
RépondreSupprimerSauter : t'es *bô* quand tu boudes :)
RépondreSupprimerYeltas : je ne veux rien effacer de son passage, le manque et l'absence sont nos compagnons de vie... les apprivoiser à tâtons...*merci* pour ce bel écho :)
Frez : plaisir de bouche ... :)
Toujours aussi sympa ici...sauf que il y a la encore l'expression "je m'étiole", expressions que je n'utilise pas, et que je retrouve dans mon texte...lol...une preuve de plus ! ....
RépondreSupprimer...
Luciole : *dé lice*
RépondreSupprimerCleaz : c'est une empreinte :p damned je suis faite ;p
l'écriture est si belle, qu'on s'y laisse glisser, jusqu'à Dé-river
RépondreSupprimerDe la douceur, de l'envie, de la passion ... un bonheur qui se lit avec le coeur.
RépondreSupprimerviola